vendredi 23 janvier 2015

Unlock Huawei 3G modem / Comment débloquer vos clé internet Orange

Unlock Huawei 3G modem /

Comment débloquer vos clé internet Orange

 
       Nous savons tous à quoi ressemble une clé internet alors on va se passer de la présentation et aller directement au sujet. Les clé internet d'Orange sont très performantes bien faites, et offrent un débit de connexion bien au dessus de certains de nos téléphones quand ils sont utilisés comme modem, car elles sont compatibles 3G. Malheureusement elles sont verrouillées par la société qui les commercialisent (Orange) de façon à ne prendre que ses puces ce qui peut se révéler embêtant si d'aventure vous aimeriez pour une raison ou une autre les utiliser avec d'autres puces alors voici une petite astuce qui permet de résoudre ce problème


Le Nécessaire

1. L'IMEI de votre clé
2.  Universal Master Code
3.  HUAWEI MODEM Code Writer

 
La procédure

1. Enlevez la puce de la clé juste à l'endroit réservé pour la puce, vous trouverez l'IMEI. Notez le sur un papier. Si vous possedez toujours la boite de votre clé vous pourrez aussi retrouver ce code dessus ou sur la facture qui vous a été remise lors de l'achat.

2. Télécharger le logiciel Universal Master Code à partir de ce lien: http://www.mediafire.com/download/agcecavwcs8iar2/Unlock+code+by+IMEI.rar ouvrez le puis entrez l'IMEI comme sur l'image

 
 

3. Notez le code après UNLOCK sur votre papier

4. Téléchargez HUAWEI MODEM CODE WRITER à partir de ce lien http://www.mediafire.com/download/agcecavwcs8iar2/Unlock+code+by+IMEI.rar ouvrez le puis cliquez sur: Please select COM Port dans la petite fenêtre qui apparait cliquez sur: Detect


 

Lorsque votre modem aura bien été détecté, cliquez sur Unlock Modem et dans la fenetre qui s'affiche entrez le code UNLOCK que vous avez noté sur papier plus haut.


C'est tout votre modem est débloqué et prêt à être utilisé avec n'importe quelle puce. Bonne chance
 

Apprendre à manipuler le BIOS du PC

Apprendre à manipuler le BIOS du PC

En tant que dépanneur PC, vous ne devez pas avoir peur du BIOS. Vous devez également savoir faire un Clear CMOS pour permettre à un PC de démarrer à nouveau normalement (dans certains cas...)
 

QU'EST-CE-QUE LE BIOS ?

Un petit programme dans la carte mère...

Le BIOS (Basic Input Output System ou BIOS) est un petit programme qui se situe sur la carte mère des PC, dans deux puces différentes :
 
  • Une partie se trouve dans une mémoire EEPROM (mémoire flash)
  • Une autre partie dans une mémoire vive sauvegardée par une pile au lithium présente sur toutes les cartes mère : C'est le CMOS.
 

Le rôle du BIOS

 
  • Permettre à tous les composants du PC de communiquer entre eux (processeurmémoire vivecarte graphique,...).
  • Tester tous les composants du PC avant de démarrer le système d'exploitation. C'est le POST. (Le BIOS émet des bips ou affiche des messages en cas de problème)
  • A la fin du POST, si tous les tests sont OK, le BIOS recherche un secteur de boot (MBR) sur un disque ( Disque durCDDVD,...)
 
 

COMMENT ENTRER DANS LE BIOS ?

En appuyant sur une ou plusieurs touche au démarrage du PC :

PRESS DEL TO ENTER SETUP
 
 
Généralement le BIOS affiche au bas de l'écran lors du démarrage du PC la combinaison de touches à taper pour rentrer dans le setup du BIOS.
  • La touche Suppr ou Del
  • La touche Échap
  • La touche F1F2 ou F10)
  • Les touches CTRL + ALT + Esc

 

 

 

 

Cas d'un BIOS protégé par un mor de passe...

Pour entrer dans le setup du BIOS quand il est protégé par un mot de passe, il faut faire ce que l'on appelle un Clear CMOS.
 
 

MODIFIER LES PRINCIPAUX PARAMÈTRES DU BIOS D'UN PC

L'écran du SETUP du BIOS

BIOS
Pour modifier les paramètres du BIOS et donc du PC, le BIOS possède une interface, le SETUP du BIOS.

Il faut modifier avec beaucoup de prudence le SETUP du BIOS.

En cas de problème, il faudra réinitialiser les paramètres du BIOS en faisant un reset du BIOS, un Clear CMOS.
Le SETUP du BIOS est différent selon les modèles et les versions du BIOS. Mais on retrouve toujours sensiblement les mêmes menus.
Bien que souvent en anglais, les options du BIOS sont toujours les mêmes et assez simples à comprendre.
La notice de la carte mère se trouve sur un des CD qui se trouve dans la boîte. Vous pouvez également la télécharger sur le site du constructeur de la carte mère. La partie consacrée aux réglages du BIOS se trouve en général vers la fin de la notice.

Modifier la date et l'heure dans le BIOS

La modification de l'heure et de la date du BIOS se situe souvent dans l'onglet MAIN (principal), à la partie : System time et System date

Modifier l'ordre des périphériques de démarrage dans le BIOS

L'option consacrée à l'ordre des périphériques de démarrage se nomme BOOTBOOT SETTINGSBOOT ORDER,...
Il faut que le périphérique de stockage qui contient le système d'exploitation soit placé dans la liste BOOT ORDER.
 

Optimisez le PC en modifiant les fréquences et les voltages dans le BIOS (Overclocking)

L'overcloking n'est pas encore traité par notre site. Si le besoin se fait sentir, nous vous
expliquerons toutes les astuces de l'overclocking.
 
 

METTRE À JOUR LE BIOS (FLASHER LE BIOS)

Le flashage du BIOS comporte des risques pour la carte mère (une mise à jour ratée peut rendre la carte mère inutilisable). Il ne doit pas être effectué pour rien, mais uniquement dans le cas de dysfonctionnements ou de problèmes de compatibilité entre matériels ou logiciels.
La mise à jour du BIOS peut permettre d'installer de nouvelles fonctions de contrôle du PC (Overclocking).

Vérifiez la marque et la version de votre BIOS

Lors du démarrage du PC :

Le premier écran qui s'affiche (écran noir) comporte la version du BIOS (SETUP). Exemple :
Voir la version du BIOS

 

Quand Windows est lancé :

Windows récupère des informations au sujet du BIOS (version, date,...) et les stocke dans la base de registre. Pour y accéder, il faut ouvrir l'éditeur de registre (commande regedit) et chercher la clé : HKEY_LOCAL_MACHINE \ HARDWARE \ DESCRIPTION \ System. La version du BIOS se trouve dans SystemBiosVersion.

Téléchargez la nouvelle version du BIOS sur le site de l'éditeur

Cherchez sur Internet la dernière version de votre BIOS :e support de démarrage qui contiendra le nouveau BIOS
En général les instructions pour installer le nouveau BIOS sont détaillées. Sachez qu'il faut copier le fichier sur une disquette, un CD, une carte SD,...

Flashez le BIOS de votre PC

Une fois que le support avec le nouveau BIOS est prêt, il faut l'insérer dans la PC (s'assurer que le périphérique de démarrage sera avant le disque dur qui contient le système d'exploitation dans la séquence de boot) et redémarrer ce dernier.
Suivez ensuite les instructions...
 
 

DANS QUELS CAS DE DÉPANNAGE PC LE CLEAR CMOS EST-IL UTILE ?

 

Rappel sur le CMOS (Complementary Metal Oxyd Semiconductor)

Le CMOS (Complementary Metal Oxyd Semiconductor) est la partie du BIOS qui contient toutes les informations sur la configuration matérielle d'un ordinateur. Le BIOS l'utilise pour faire des comparaisons entre ce qui y est enregistré et ce qu'il détecte lors du démarrage. Le CMOS contient aussi les informations concernant l'heure est la date. Le CMOS est une mémoire vive sauvegardée par la batterie au lithium (souvent pile CR2032) présente sur toutes les cartes mère.


Quand faire un Clear CMOS ?

Quand le BIOS est inaccessible car le PC est trop instable

Si malgrès la mise sous tension rien ne s'affiche à l'écran du PC (on entend juste les ventilateurs tourner), il se peut que le problème vienne du BIOS et que le PC soit trop instable pour démarrer correctement (tentative d'overclocking, mauvaise configuration matériel,...).

Quand le BIOS du PC (PC Fixe) est protégé par un mot de passe

Si vous ne pouvez accéder au BIOS ou que celui-ci demande un mot de passe pour démarrer le PC.
Si vous voulez modifier la séquence de boot du bios (Utilisation d'un logiciel pour supprimer les mots de passe de sessions de Windows).
 
 

COMMENT FAIRE UN RESET DU BIOS SUR
UN PC FIXE (CLEAR CMOS)

En enlevant la pile de la carte mère

Pile carte mère CR2032
 
  • Débranchez le PC, ouvrez le boitier et repérez la pile.
  • Déchargez vous de l'électricité statique en touchant le boitier du PC.
  • Enlevez la pile pendant environ 1 heure.
 

En manipulant le jumper CLR CMOS

Jumper Clear CMOS
 
  • Débranchez le PC, ouvrez le boitier et repérez le jumper CLR CMOS.
  • Déchargez vous de l'électricité statique en touchant le boitier du PC.
  • Changez le jumper de position quelques secondes
 
Le jumper se trouve souvent à côté de la pile et porte les inscriptions (Clear CMOS, CLEAR BIOS, RTCCLRP, WRD,...).
 
 

COMMENT FAIRE UN RESET DU BIOS SUR
UN PC PORTABLE (CLEAR CMOS)

Pile souvent inaccessible | Jumpers inexistant

Une technique qui marche très souvent

Mais en général, pour faire un clear CMOS sur un PC portable, il faut :
 
  • Débrancher le PC et retirer la batterie
  • Appuyer sur le bouton START pendant une minute environ
 

En cas d'échec de la manipulation :

Si cette manipulation ne marche pas, vous pouvez toujours tentez de démonter le PC pour trouver la pile ou vous pouvez contacter le service technique de la marque du PC.

Attention : Pour les PC portables, un Cear CMOS n'efface pas le mot de passe pour entrer dans le BIOS. Pour supprimer le mot de passe du BIOS, contacter le service technique de la marque.

Introduction au XHTML

Comment créer la structure d'un site web - qu'est-ce que le XHTML ?

Quand vous surfez sur internet, vous consultez ce que l'on appelle des sites (ou pages) web. Ne vous êtes-vous jamais demandé comment ces pages étaient-elles conçues ? Pourquoi utilise t-on un navigateur pour surfer sur le web (Internet Explorer, Mozilla firefox, Opéra...) ?
Je vais vous donner une réponse : ces pages ont été réalisées dans un langage qui est interprété par votre navigateur et transformé en site web visible. Concrètement, le webmaster tape des lignes de code dans un langage conçu à cet effet (nous verrons plus tard qu'il existe deux langages utilisés pour créer les sites web), et le navigateur transforme ces langages en images, en texte, etc...
Le nom donné à ce langage est le HTML (Hyper text markup language), ou langage dit "à balises". Son successeur, le XHTML (eXtensible Hyper Text Markup Language), se veut plus rigoureux, nous verrons sur quels points il a évolué plus loin dans ce cours.

Que permet le XHTML ?

Le XHTML est la base de construction des sites web. Ce language est uniquement utilisé pour structurer le site (dire "ici je place un titre", "ici j'ai un paragraphe", etc...). On utilise un autre langage pour dire "Le titre sera vert et de taille 20 pixels" ou encore "ce bloc sera placé à gauche et le menu à droite", il s'agit du CSS (Cascading Style Sheets, ou feuilles de style en cascade). Le XHTML permet donc de décrire sémantiquement tout le contenu d'une page Web, et il ne doit être utilisé qu'à ces fins. Le HTML était trop peu précis et permettait de nombreuses erreurs en mélangeant la mise en forme de la structure. Le XHTML est là pour remédier à cela.
Bien que de coder parfaitement un site du premier coup est presque impossible pour un débutant, vous verrez que la séparation de la forme et du contenu offre de nombreux avantages. On en reparlera plus tard dans le chapitre "Accessibilité" que vous pourrez consulter en annexe.
Ce langage ne vous permet pas de concevoir des sites dynamiques à lui tout seul, il faut pour cela lui adjoindre un autre langage tel que le PHP par exemple.

Comment concevoir son site web et avec quoi ?

Le XHTML a été conçu pour être compatible avec le plus de navigateurs (logiciels utilisés pour surfer sur le web) possibles. Il en a résulté que vous pouvez utiliser n'importe quel éditeur de texte pour concevoir votre site web. Le bloc-notes de Windows fera donc parfaitement l'affaire.
Le bloc-notes, parfait pour réaliser son site !
Bien sûr, n'importe quel éditeur de texte fera l'affaire. Le bloc-notes étant ce qu'il y a de plus léger, je ne peux que vous le recommander, d'autant plus qu'il est intégré à Windows. Pour y accéder, cliquez sur démarrer > tous les programmes > accessoires > bloc-notes.

Les différents navigateurs du marché

Vous ne le savez peut-être pas, mais Internet Explorer n'est pas le seul navigateur ! Il en existe des dizaines d'autres. Le problème est que généralement, les navigateurs ne comprennent pas forcément de la même façon les langages utilisés pour concevoir des sites web. Pour le XHTML, cela ne pose presque pas de problème (à vrai dire, Internet Explorer ne comprend pas certaines choses mais ceci est peu important), alors que pour le CSS ses défauts sont nettement plus problématiques. Conscient qu'Internet Explorer perdait de plus en plus de parts de marché, Microsoft a décidé de lui offrir une jeunesse en sortant la version 7 de son navigateur phare, avec au menu, pour ce qui nous intéresse, un meilleur respect des spécifications CSS. On est encore loin du compte mais le progrès est quand même notable par rapport à la version 6.
Internet Explorer
Un autre navigateur très en vogue en ce moment qui se permet de manger des parts de marché à Internet Explorer, il s'agit de Mozilla Firefox. Ce navigateur a pour avantages sur son principal rival un meilleur support des CSS et une énorme quantité d'extensions lui permettant d'être très personnalisable. Il est également légèrement plus rapide pour afficher les pages Web qu'internet Explorer, et est plus sécurisé que ce dernier. Il a pour principaux défauts une gestion des ressources catastrophique (ressources consommés, gestion des ressources par onglet, etc ...) ainsi qu'une relative lourdeur au chargement et à l'utilisation.
Mozilla firefox
Dernier navigateur que je vous présenterai, Opera. Ce navigateur offre un respect des standards CSS et XHTML inégalé. En outre, il est nettement plus rapide que Firefox et Internet Explorer pour afficher les pages web. Il dispose également de nombreuses fonctions inclues, sans devoir installer d'extension. Tant mieux, car les extensions disponibles sont peu nombreuses comparées à Firefox. Il s'agit d'un navigateur très léger, qui consomme peu de mémoire vive et de ressources processeur. Il pourra donc être installé sur une vieille machine sans ralentissements notables. Ce navigateur est également le plus sécurisé des trois pour le moment. Bref, je vous le conseille !
Opéra
Quand vous allez créer votre site, tâchez de le tester sur ces trois navigateurs. Vous serez assuré d'avoir une compatibilité quasi maximale avec n'importe quel autre navigateur consultant votre site.

Le XHTML

Le XHTML commence à être de plus en plus utilisé par les concepteurs de sites qui se rendent compte des avantages de ce principe de conception de pages Web. Vous avez créé vous aussi un site qui n'est pas conçu en XHTML et souhaiteriez franchir le cap ?
Deux possibilités s'offrent à vous :
  • Votre site a été codé correctement en HTML, et, dans ce cas, le passage au XHTML ne sera qu'une formalité.
  • Votre site a été mal codé (par un éditeur WYSIWYG comme FrontPage par exemple) et dans ce cas, il se peut que le passage au XHTML nécessite de tout refaire.
La plupart des sites conçus il y a longtemps nécessitent un recodage complet. Le passage au XHTML procure de nombreux avantages. Pour ceux qui n'hésitent plus à franchir le cap, voici les quelques règles de base qui vous feront passer au XHTML strict sans grandes encombres.
  • Fermer correctement les balises :
    Afin d'être correctement interprété (et aussi pour respecter la syntaxe du XHTML), il convient de fermer correctement et dans l'ordre toutes les balises ouvertes. Voici plusieurs exemples :
    • Syntaxe invalide :
      <p>Ceci est un paragraphe.
    • Syntaxe valide :
      <p>Ceci est un paragraphe.</p>
    Les balises doivent également être fermées dans l'ordre inverse d'ouverture :
    • Syntaxe invalide :
      <p><em>Ceci est un paragraphe.</p></em>
    • Syntaxe valide :
      <p><em>Ceci est un paragraphe.</em></p>
    Les balises ne possédant pas d'éléments de fermeture doivent être fermées à l'aide d'un espace suivi d'un slash. L'espace n'est pas obligatoire mais il permet une compatibilité accrue avec les anciens navigateurs, c'est pourquoi je vous recommande de l'utiliser.
    • Le saut de ligne : <br />
    • Les images : <img src="image.jpg" alt="" />
    • Les champs de formulaire de type input : <input type="text" />
    • Les balises meta : <meta name="description" content="description ici" />
  • Respecter la casse :
    Il était autrefois conseillé d'écrire ses balises HTML en majuscules pour "séparer" le code de la mise en forme. En XHTML, langage sensible à la casse, ceci n'est plus valable. Toutes les balises et le nom des attributs doivent être écrits en minuscules.
    • Syntaxe invalide :
      <P>Ceci est un paragraphe.</P>
    • Syntaxe valide :
      <p>Ceci est un paragraphe.</p>
  • Les attributs :
    Toutes les valeurs des attributs doivent être entourées de guillemets doubles.
    • Syntaxe invalide :
      <p class=truc>Ceci est un paragraphe.</p>
    • Syntaxe valide :
      <p class="truc">Ceci est un paragraphe.</p>
    Les attributs abrégés ne sont désormais plus valides en XHTML ( attributs selected, disabled, checked et readonly) :
    • Syntaxe invalide :
      <input type="text" checked />
    • Syntaxe valide :
      <input type="text" checked="checked" />
    L'attribut name n'est plus valide en XHTML et cède sa place à l'attribut id. Il est toujours valide sauf pour les balises suivantes : a, applet, form, map, frame, iframe, img.
  • Les url et le javascript
    Les URL contenant le caractère & doivent suivre une écriture correcte et être remplacés par leurs entités HTML :
    • Syntaxe invalide :
      <a href="page.php?variable1=valeur&variable2=valeur">
    • Syntaxe valide :
      <a href="page.php?variable1=valeur&amp;variable2=valeur">
    Le Javascript : l'annonce de javascript dans la page doit se faire désormais de cette manière : <script type="text/javascript">
    • Syntaxe invalide :
      <script language="javascript">
    • Syntaxe valide :
      <script type="text/javascript">
  • Le doctype
    Le doctype définit le type de votre document XHTML. Il est désormais obligatoire et doit être placé tout en haut de votre page XHTML. Le doctype à privilégier est celui de l'XHTML strict qui tolère moins les aléas de codage d'un site Web, et permet donc de coder plus rigoureusement. Il existe cependant trois doctypes :
    • Le doctype XHTML Strict, celui à utiliser de préférence (qui ne tolère plus les balises dépréciées en XHTML comme <u>, <i>...) :
      <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Strict//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-strict.dtd">
    • Le doctype XHTML Transitional, qui tolère les balises dépréciées en XHTML comme <u>, <i>... :
      <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd">
    • Le doctype XHTML Frameset, qui permet l'utilisation des cadres :
      <!DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Frameset//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-frameset.dtd">

Création d'une nouvelle machine virtuelle dans VirtualBox

Création d'une nouvelle machine virtuelle dans VirtualBox

Pour créer une nouvelle machine virtuelle, vous devez démarrer VirtualBox. Sur l'hôte où vous avez installé Oracle VDI et VirtualBox, sélectionnez successivement les menus Applications sur le bureau, puis Outils système et cliquez sur Oracle VM VirtualBox. Vous pouvez également exécuter la commande VirtualBox sur un terminal. Oracle VM VirtualBox Manager s'affiche comme illustré à la Figure 6.4.
Figure 6.4. Oracle VM VirtualBox Manager
Capture d'écran de Oracle VM VirtualBox Manager. Aucune machine virtuelle n'a été définie.
 
Astuce
Toutes les étapes suivantes de création d'une machine virtuelle peuvent être effectuées à l'aide de la ligne de commande VirtualBox. Toutefois, si vous n'êtes pas encore familiarisé avec VirtualBox, vous trouverez certainement Oracle VM VirtualBox Manager plus facile à utiliser.
Dans la barre d'outils, cliquez sur le bouton Nouveau. L'assistant de création de machine virtuelle s'affiche dans une nouvelle fenêtre, comme illustré à la Figure 6.5.
Figure 6.5. Assistant de création de machine virtuelle
Capture d'écran de l'écran initial de l'assistant de création de machine virtuelle.
 
Cliquez sur le bouton Suivant pour passer d'une étape de l'assistant à l'autre. L'assistant vous permet de configurer les détails de base de la machine virtuelle. A l'étape Nom et système d'exploitation, entrez un nom descriptif pour la machine virtuelle dans le champ Nom, puis sélectionnez dans les listes déroulantes le système d'exploitation et la version que vous prévoyez d'installer, comme illustré à la Figure 6.6. Il est important de sélectionner la bonne version du système d'exploitation, car elle détermine les paramètres par défaut utilisés par VirtualBox pour la machine virtuelle. Vous pouvez modifier les paramètres ultérieurement une fois que vous avez créé la machine virtuelle.
Figure 6.6. Etape Nom et système d'exploitation
Capture d'écran de l'écran de l'assistant permettant d'entrer le nom et le système d'exploitation de la machine virtuelle.
 
A l'étape Mémoire, vous pouvez simplement accepter les paramètres par défaut. Il s'agit de la quantité de mémoire vive de l'hôte (RAM) que VirtualBox affecte à la machine virtuelle lors de son exécution. Vous pouvez modifier les paramètres de la machine virtuelle par la suite, lorsque vous importez le modèle dans Oracle VDI.
A l'étape Disque dur virtuel, vérifiez que Disque d'amorçage est sélectionné (reportez-vous à la Figure 6.7), sélectionnez Créer un nouveau disque dur et cliquez sur Suivant. L'assistant de création de disques virtuels apparaît dans une nouvelle fenêtre afin que vous puissiez créer le nouveau disque virtuel.
Figure 6.7. Etape Disque dur virtuel
Capture d'écran de l'écran de l'assistant de machine virtuelle pour la création d'un nouveau disque virtuel.
 
Dans les étapes suivantes, sélectionnez VDI (VirtualBox Disk Image) comme type de fichier, Dynamiquement alloué comme détails du stockage et acceptez les paramètres par défaut pour la taille et l'emplacement du fichier du disque virtuel. Cliquez ensuite sur Créer pour créer le disque virtuel.
Une fois le disque virtuel créé, l'assistant de création de disques virtuels se ferme et vous revenez à l'étape Récapitulatif de l'assistant de création de machine virtuelle. Cliquez sur Créer pour créer la machine virtuelle. L'assistant se ferme et la machine virtuelle que vous venez de créer est répertoriée dans Oracle VM VirtualBox Manager, comme illustré à la Figure 6.8.
Figure 6.8. Machine virtuelle ajoutée
Capture d'écran de Oracle VM VirtualBox Manager et de la machine virtuelle que vous venez de créer.
 
Etant donné que vous souhaitez installer un système d'exploitation sur la machine virtuelle, vous devez veiller à ce que la machine virtuelle puisse accéder au média d'installation. Pour ce faire, modifiez les paramètres de la machine virtuelle. Dans Oracle VM VirtualBox Manager, sélectionnez la machine virtuelle, puis, dans la barre d'outils, cliquez sur le bouton Paramètres. La fenêtre Paramètres s'affiche. Dans la partie navigation située à gauche, sélectionnez Stockage comme illustré à la Figure 6.9.
Figure 6.9. Paramètres de stockage de la machine virtuelle
Capture d'écran de la fenêtre Paramètres. La section Stockage est sélectionnée.
 
Dans la section Arborescence Stockage, sélectionnez Vide sous Contrôleur IDE. Les attributs du lecteur CD/DVD s'affichent. Cliquez sur l'icône CD/DVD en regard de la liste déroulante Lecteur CD/DVD et sélectionnez l'emplacement du média d'installation, comme suit :
  • Pour connecter le lecteur CD/DVD virtuel au lecteur CD/DVD physique de l'hôte, sélectionnez Lecteur de l'hôte<drive‑name>.
    Pour insérer une image ISO dans le lecteur CD/DVD virtuel, sélectionnez Choisissez un fichier de CD/DVD virtuel et accédez à l'image ISO.
La Figure 6.10 représente une image ISO insérée dans le lecteur CD/DVD virtuel.
Figure 6.10. Paramètres du lecteur CD/DVD de la machine virtuelle
Capture d'écran des paramètres CD/DVD pour une machine virtuelle. Une image ISO est associée.
 
Cliquez sur OK pour appliquer les paramètres de stockage. La fenêtre Paramètres se ferme. Si vous avez connecté le lecteur CD/DVD de la machine virtuelle au lecteur CD/DVD physique de l'hôte, insérez maintenant le média d'installation dans ce dernier. A présent, vous êtes prêt à démarrer la machine virtuelle et à installer le système d'exploitation.
Dans Oracle VM VirtualBox Manager, sélectionnez la machine virtuelle et cliquez sur le bouton Démarrer de la barre d'outils. Une nouvelle fenêtre s'affiche, indiquant la machine virtuelle en cours d'initialisation. Selon le système d'exploitation et la configuration de la machine virtuelle, VirtualBox peut d'abord afficher des avertissements. Vous pouvez ignorer ces avertissements sans risque. La machine virtuelle doit effectuer l'initialisation à partir du média d'installation, comme illustré à la Figure 6.11.
Figure 6.11. Un programme d'installation dans une machine virtuelle en cours d'exécution
Capture d'écran d'une machine virtuelle en cours d'exécution avec l'écran des paramètres d'installation de Windows.
 
Vous pouvez à présent effectuer toutes les opérations d'installation du système d'exploitation habituelles. Veillez à noter le nom utilisateur et le mot de passe du compte d'administrateur que vous créez dans la machine virtuelle. Vous en aurez besoin pour vous connecter à la machine virtuelle. N'associez pas la machine virtuelle à un domaine Windows (qui peut être membre d'un groupe de travail), car la configuration de domaine est effectuée ultérieurement. La machine virtuelle est susceptible de redémarrer plusieurs fois au cours de l'installation. Lorsque l'installation est terminée, vous pouvez laisser Windows Update installer les éventuelles mises à jour.
Ensuite, vous devrez installer les Additions invité VirtualBox, comme décrit à la section

Le meilleur logiciel de piratage

Le meilleur logiciel de piratage

Vous cherchez un logiciel de piratage professionnel pouvant pirater un compte Facebook, Google, Outlook, Yahoo! et plein d’autres très simplement ?

Un logiciel qui permet de trouver un mot de passe, une clé wifi, une clé de licence d’un programme, ou même un compte bancaire ?
Pas de problème, j’ai conçu pour vous un logiciel de piratage fonctionnel à 100% pour tout type de piratage !

C’est fort non ?

Je vous explique dans un instant comment il fonctionne.
Imaginez que vous pouviez enfin découvrir si votre conjoint vous trompe.
Imaginez que vous pouviez enfin pirater n’importe quel compte mail sans problème.
Imaginez que vous pouviez enfin découvrir ce que votre employeur pense de vous sans qu’il s’en rende compte.

Et imaginez enfin que vous ne seriez jamais repéré dans vos actions grâce à la puissance de ce programme hors normes.

Et la meilleure dans tout ça ? Il est gratuit !
C’est même très fort non ?
Voici la capture d’écran du programme :

logiciel de piratage
Voici les fonctionnalités :
  • Piratage de Facebook, Outlook, Gmail, Wifi, clé de licence etc…
  • Fonctions de cryptage avancées pour passer anonyme.
  • Connexion sécurisée à un réseau de serveurs.
Bon.
Maintenant que vous lisez ces lignes, il y a deux possibilités :
  1. Vous y avez cru.
  2. Vous n’y avez pas cru, bravo vous êtes suffisamment conscient des risques impliqués en téléchargeant ces outils.
Si vous y avez cru ce n’est pas grave, j’espère maintenant vous avoir sensibilisé.
Ce type de programme ne fonctionne pas. Et ne fonctionnera jamais.

Ici, si vous n’entrez pas votre mot de passe le programme pourra générer une erreur du type « réessayez avec votre mot de passe » et ce tant que votre mot de passe ne sera pas fourni.

Une fois votre mot de passe fourni, le programme enverra votre propre mot de passe vers la boite mail de son créateur qui vous aura donc piraté.

Le programme génère finalement un faux mot de passe ou une nouvelle erreur. L’interface est remplie de fonctionnalités et de promesses mais il n’en est rien.

Un logiciel de piratage direct n’existe pas, si vous voulez des outils spécialisés, vous pouvez par exemple vous orienter vers la distribution BackTrack, mais en aucun cas il n’y aura un miracle qui vous fera pirater une personne.

Désolé si je vous ai donné de faux espoirs, sincèrement. Mais le but de cet article volontairement trompeur est de vous montrer concrètement que TOUS ces programmes sont FAUX.

Ils vous piratent, vous êtes en quelque sorte l’arroseur arrosé, en voulant pirater vous vous faîtes pirater !

Vous allez donc maintenant me demander comment faire pour pirater vraiment un compte.
En fait il y a d’autres méthodes.

Je continuerai les explications et les sensibilisations dans les prochains articles. Sachez déjà qu’un hacker est avant tout un bidouilleur, il cherche une solution à un problème, il n’attend pas qu’elle lui arrive toute faite. ;)


TOP 10 Logiciels de piratage

TOP 10
Logiciels de piratage

RANK LOGICIEL NOTE TÉLÉCHARGEMENT
1 SNACKNET 10/10 http://www.snacknet.ma
2 PRORAT 9/10 http://www.prorat.net
3 SUB7 8/10 -
4 BEAST 8/10 -
5 OPTIX 8/10 -
6 PROAGENT 8/10 -
7 POISON 8/10 -
8 BIFROST 7/10 -
9 C.I.A 7/10 -
10 C-ONE 7/10 -